Les causes du départ de Joseph

Joseph attend la cargaison de produit qu'il a commander en Inde et en Orient, en attendant dans son laboratoire à la cave de sa maison il continus à étudier et invoquer des puissances inconnus des non initiés, cela l'effrayais et l'excitait en même temps. Des son étrange, des odeurs horrible en ressortait, Cela devenait de plus en plus dur de gardé le secret, le village se mettait à parlé a voie basse de Joseph et de son attitude, quand il arrivait en ville tout le monde se taisait ou partait, cela dérangeait Joseph car il voulait rester secret, puis un jour il reçut une lettre qui disait à peu prêt ceci :


Monsieur Curwen,

Je suis M.Wilton j'ai appris par une connaissance que vous aussi vous manipuliez les choses interdites, ne me demander pas par qui me la appris, cela n'a aucune importance, je souhaiterais vous rencontrez à Paris dans les jours à venir j'ai des choses à vous montrez, veuillez m'excuser je ne peux vous en dire plus dans cette lettre j'ai peur qu'ont surveille mes courriers, vous me trouverez à l'auberge De la gare près de la gare de l'est, chambre 128.

Dans l'espoir de vous y voir .

Le lendemain Joseph pris un billet pour un bateau en partance pour la Bretagne puis un billet de train en direction de Paris, Il arrivât à 22h30 la nuit était déjà tomber depuis longtemps, Joseph descendit du train et se dirigeât vers l'auberge de de la gare d'un pas presser, c'etais pour lui la première fois qu'il était à Paris mais avec cette obscurité difficile de se faire une idée de la ville il arrivat devant la porte de l'auberge -qui ressemblait plus à un hotel- parla à l'hôte d'accueil et arriva devant la chambre 128, puis il frappa à la porte

Joseph semblait inquiet et se demanda se qu'il se passait, derrière cette porte, puis il frappa une nouvelle foie à la porte un peu plus fort

Monsieur Wilton? ... c'est Joseph Curwen, ouvrez .
Vous m'avez contactez il y a deux jours.

il se demandait si c'était une bonne idée d'avoir frappé de nouveau, mais il fallait en être sur

Joseph qui commençait à perdre patience, tourna doucement la poignet et entrebâilla la porte juste histoire de pouvoir jeter un coup d'œil dans la chambre tout en gardant le plus de discrétion possible

cela me dit rien qui vaille ...

Vide.
La chambre était entièrement vide.
La fenêtre battante laissant de temps à autre couler un peu de l'eau de l'averse qui tombait sur la nuit Parisienne en cette sombre soirée...

Sur le sol se trouvait le costume de Wilton : une chemise, une paire de chaussure et un pantalon de tweed, empilés l'un sur l'autre en un tas informe.
Parmi les vêtements une petite baguette de bois à la forme étrange et serpentine.
Au centre de la pièce,un chevalet, placé en face d'un miroir en pied, sur lequel était posé un tableau d'un goût douteux, de noir et de rouge, représentant une sorte de couloir étrange et informe.

Le petit bureau de l'hotel recelait également une plume et une feuille de papier sur laquelle se trouvaient les quelques mots suivants :

Citation :

Les mots sont la clé...

Le petit carnet de Wilson comprenait également un plan de Paris et un leu entouré, rue Mouffetard....A coté de l'adresse, était inscrit le mot "Livre"...

Surpris de l'absence de son contacte, Joseph entra cette fois dans la chambre marcha vers le tableau, il l'observa au moins dix bonnes minutes ce tableau il a quelque chose d'attirant en le regardant. Une fois sortie de sa rêverie joseph lit l'inscription annoté sur le bout de parchemin

"les mots sont la clé ... les mots sont la clé ... humpff.
Je me demande ou Wilton est passer ... peut-être que ca méfiance était justifier après tout... ces habits sont rouler en boules, je suppose qu'il a du partir précipitamment"

Puis il ouvrit le carnet, vie l'adresse et le mot "livre"

"ah, ca dois être la bas que je trouverais des réponses et peut-être que j'apprendrais les raison de la disparitions de Wilton."

Joseph pris la baguette et sortis dans la ruelle sombre, pour se diriger vers la rue Mouffetard il eu l'impression d'être suivit mais quand il se retournait il n'y avait jamais personne, pourtant les bruits de pas etait persistant, peut etre que l'étrange absence de Wilton la plus marqué qu'il ne l'aurait penser