Scenario VIII : Terreur en Ariège.

Malgré la situation pour le moins critique, je reste stoïque extérieurement, quoique intérieurement je ne suis pas très stressé par les endroits glauque. Entre la maison de mes parents et ma morgue, j'ai été servi. Et puis même si je voulais paniqué, la voix familière effrayait de la cellule à coté de moi, m'en empêchait. Il n'y avait rien de pire pour paniquer une personne qu'une autre personne paniquée. Je me penchais donc pour parler à cette personne et la rassurer avec une voix posée.

"Y a quelqu'un ? Je vous entends parler, s'il vous plait répondez moi"

La jeune femme est en train de se briser de l'intérieur. Damien devait agir vite. Il décida d'essayer de creuser, ne serait que pour montrer un visage amicale, une présence humaine à sa compagnon de cellule.

"D'accord, on ne m'écoute jamais. Mais ce n'est pas grave ... j'aime bien quand on chante des petits chansons comme ça. Vous inquiétez pas, j'arrive. Comme ça on pourra chanter d'autres chansons en canon tout ça. Bougez pas surtout"

Lexie cligna plusieurs fois des yeux, la tête lui tournant. Cela lui prit quelques instants pour comprendre (ou deviner du moins) où elle était...

-Comme ça on pourra chanter d'autres chansons en canon tout ça. Bougez pas surtout.


*Mais de quoi il parle, celui-là?*

Lexie s'assit sur le lit: dans son manteau, les roches et les bouts de bois lui scièrent le haut de la cuisse. Elle bondit immédiatement, pour ne pas se blesser.

*Aux grands maux, les grands remèdes... Vaut mieux prendre ses précautions.*

Lexie sortit de sa poche une roche et un bâton, écarta les pans de son manteau, et reprit place sur le lit, cette fois sans danger. Elle commença à tailler en pieux le bout de bois, quand elle entendit une voix.

-Creuse, creuse! Il faut qu'on parle.
-Damien?
-Creuse!

*Ce n'est pas Damien. Ce n'est pas sa voix... À moins qu'il ait grimpé d'un octave exprès...*

[Un flashback. Un kiosque dans la brume. Ses plaintes, ses suppliques, ses cris. Jamais de réponse.]

Elle chassa ses pensées, qui ne rimaient à rien de toute façon. Avec obstination, Lexie continua à gratter son bâton, qui prenait lentement les caractéristiques d'un pieu.

[ Mouhahahahahahahaha!!!! tout le monde monte d'un niveau en peur ! ]

[ Damien]


Une fois le trou dans la paroi assez grand, Damien put constater toute l'horreur d'ont était victime la jeune femme. Elle n'avait plus grand chose avoir avec la morphologie humaine classique. Les muscles de la jeune femme avait été rassemblé de façon a ce quelle ressemble a une lapine tout en gardant certains traits humains. le front la les yeux et la bouche était resté humain tandis que la mâchoire avais été allongé et les oreilles allongé. c'était Marguerite recroquevillé sur elle même et qui continuais sa comptine. le sang qui avait séché sur les coutures invisible lui donnais un côté morbide...


[lexie]

Une fois le trou dans la paroi assez grand, lexie put constater toute l'horreur d'ont était victime la jeune femme. Elle n'avait plus grand chose avoir avec la morphologie humaine classique. Les muscles de la jeune femme avait été rassemblé de façon a ce quelle ressemble a une féline tout en gardant certains traits humains. Malgré son apparence inhumaine, elle avait gardé la raison et était au bord des larmes mais souriait comme si elle était herueuse de voir lexie...

-"IL" va revenir, "IL" nous a fait subir ces expériences... Pitié aidez nous !!! Aidez nous !!!
Il... Il a son "chien de garde" ... Prenez garde a lui, il... Il attire les gens dans ce manoir pour que son maître puisse procéder a ces expériences...

*Ah ben ça, on voit pas ça tout les jours*

La pauvre jeune femme avait été métamorphosée en une créature mi humaine, mi animale. Cela indiquait une chose, c'était surement pas une bête sauvage qui avait trucidé le père de cette jeune femme. Mais au fond, Damien était intrigué, d'après ce qu'il voyait, ces modifications avait été faite par chirurgie, preuve d'une grande connaissance en médecine. Mais au moins cela voulait dire qu'il y avait peut être une chance pour réparer les dégat. Je passe ma main par le trou pour attirer son regard avant de m'adresser à elle.

"Marguerite ? Allons n'ayez pas peur, je suis là. Regardez ma main, approchez vous que je vous vois mieux"

Lexie ouvrit les yeux, ronds comme des billes, avec frayeur. Choquée, elle laissa tomber ses outils dans la poussière: ce qu'elle voyait la répugnait, car ces manipulations étaient si inhumaines...

-Comment? Comment vous aider?

Puis, plus pour elle-même, elle murmura:

-Laissez-moi sortir d'ici... Je vous en prie...

[Lexie]

-Il arrive... Il va vous faire visiter sa "galerie" avant de vous transformer a votre tour... c'est pendent la visite qu'il faudra agir...


[damien]

La jeune femme commence a se calmer puis soudain elle se recroquevilla dans un coin de sa cellule...


[tout les deux]

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La porte a barreaux de la cellule s'ouvre et vous le voyez, armé de sa blouse blanche entaché de sang encore frais, a côté de lui l'homme loup a la musculature proéminente...

-Vous vous étés enfin réveillé... Voila une semaine que vous dormiez, J'ai eu tout le temps de m'occuper de votre amie... Ne trouvez vous qu' elle plus belle ainsi ? J'ai réussi a faire ce qu'aucun sculpteur n'a réussi a faire jusqu'à maintenant: Retravailler la chair humaine pour lui donner n'importe quelle forme. Quand je travaillais a Paris l'on m'envoyais les défiguré a l'acide, victime de bandits de grands chemins, et autres grands brûlées... Mais j'ai toujours voulu passer a l'étape au dessus: créer, ne plus être limité a l'humain laisser parler ma fantaisie artistique!!! Grâce a l'argent de ces défigurées je suis vite devenu riche assez pour pouvoir me payer ce château ... Le problème restant est la matière première, mais ce brave Olivier ce charge pour moi, d'enlever ou d'attirer mes prochains cobayes... Comme vous.

Le dr. Meryon se tourna vers olivier et lui fit signe de disposer...

-Suivez moi ...

le docteur commence a vous faire visiter sa galerie vous décrivant les difficulté et les plaisir qu'il a eu sur chaque sujet...


[Que faites vous ?]

Quand j'entends quelqu'un approcher de la porte et que je vois Marguerite se recroqueviller, je lance à la jeune femme.

"N'ayez pas peur Marguerite, je vous sauverai, je vous aiderai, ne perdez pas espoir"

Je me relève alors et me dépoussière pour être vaguement présentable en face du "docteur" et de sa bête : Olivier. Alors comme ça Olivier avait la mission de lui ramener de la matière première ? Bizarre, ce n'est pas ce qui s'est passé avec le père de Marguerite et Léon. Peut être était ce une brèche qui pourra être exploiter à l'avenir. Je reste donc stoïque face à ce boucher et affiche un regard quelque peu méprisant.

"Olivier était chargé de nous attirer ? Vraiment ? Est ce que vous nous avez fouillé ?"

Dis je en tapotant ma veste pour savoir si mes papiers étaient toujours en place

-Une telle faute ne serais pas tres professionel de ma part mr.Gentil... votre poivriere en lieu sûr... sûr pour moi. Et effectivement connaisant l'efficacitée de la police d'ax les thermes, je me doutais que quel q'un allais bientôt enqueter sur la mort de feu bardeil de façon officieuse... Quand a ce meurtre il fut inatendu et fort regretable... Mais il m'a apporté plus de matiere premiere que je n'osait l'espérer...

Il savait donc qui j'étais ... mais il venait de me donner une information assez étonnante, il ne controlait pas totalement cet Olivier, le meurtre en est la preuve. Cela pourra surement me servir à l'avenir.

"Monsieur Gentil ? J'aurais cru que quelqu'un de votre trempe aurait bien mieux lu ma carte de police. Je ne sais pas si le terme de médecine légale est arrivé dans votre contrée si éloignée de la belle ville de Paris, mais avant d'être enquêteur je suis un médecin. D'ailleurs votre travail m'a fait pensé a quelques cas que j'ai eu à étudier là bas, à ceci près que dans mon service, les patients sont des morts ce qui permet de nombreuses économies en anesthésiques. Toutefois, je note que votre "chien de garde" a fait du zèle. Le petit personnel n'est plus ce qui l'était n'est ce pas ? Moi même, je n'arrive pas à trouver un officier de police qui n'ai pas envie de vomir en voyant un corps humain en plus de 3 morceau"

[ excusez moi de l'absence j'avais une partie de D&D a organiser et je suis Pj et employeur Lm et je dois trouver un moyen d'engager un joueur qui a décidé d'etre cb...( oui mon mj a accepter un cb parmi du m) un truc simple quoi ]


-Effectivement c'est fort rare de trouver du bon personnel, toute fois vous travaillez la matière morte tandis que ceux que "soignes" sont vivants eux. Toute fois je suis curieux de connaitre votre avis sur mes chef d'oeuvres...

olivier attrapa lexie par le bras pour l'obliger a sortir.

-Olivier, cela suffit! ne voit tu point que cette enfant est complètement paniqué ? fille !

L'homme loup s'exécuta sans demander son reste.

le docteur s'approcha de la cellule de lexie :

-n'ayez pas peur il est parti...

lui dit il en tendent sa main vers lexie

Avançant d'un pas presque assuré, comme on se balade dans un parc ou un hopital, Damien réfléchit quelques secondes avant de répondre au docteur avec un ton franc, presque sec. Il avait eu un peu de mal à accepter la critique sur l'état de ses clients. A croire qu'un légiste n'est pas aussi doué que lui. Il était temps de lui prouver que non

"Je n'ai pas vraiment eu le temps d'observer votre travail. Mais je n'appellerai pas cela chef d'oeuvre à cause de votre impatience ou votre manque de détail. Déjà vous faites des opérations certes avec des cicatrices régulières mais toujours belle et bien visibles. Des opérations aussi lourdes nécessite plus d'une semaine de repos. Il est vrai que ma matière de travail est morte, mais j'ai aussi fait mon internat et j'ai toujours des connaissances en chirurgie. D'après ce que j'ai pu voir les noeuds de vos coutures sont toujours doublé de peur que les plaies s'ouvrent, mais elle laisse toujours des traces, ce doit être un réflexe de votre passé à recoudre des personnes agitées comme des malfrats. Mon professeurs avait le même réflexe qu'il avait depuis la guerre. Toutefois, cela rends les opérations pénibles et longues ce qui risque bien souvent de tuer vos "toiles". C'est pour cela que je pense que, malgré la très belle réalisation de votre travail, il faudrait bien plus d'implication pour créer ce qu'on peut appeler un chef d'oeuvre. Par exemple, faire des coutures simple, maintenir le sujet immobile le plus longtemps possible pendant la convalescence, en usant de narcotique de manière régulière. Avoir une surveillance 24/24 sur le sujet, en utilisant une infirmière par exemple, ou un assistant. S'assurer de l'état des plaies tout les jours pour éviter les gonflement et les rougissement trop voyant"

-Vous proposeriez vous comme assistant, mon travail vous plait-il a ce point? Où n'es ce qu'une vulgaire ruse pour me faire baisser ma garde ? En même temps les propos que vous avancez ne sont pas dénuées de sens...

Il prit un temps de pose pour mesurer le pour et le contre...

Soit... Laissons là cette demoiselle quelle puisse se reposer, le temps d'établir notre "contrat"...


la porte se referma sur lexie, pour lui laisser le temps de se remettre de ses émotions

maintenant Damien le le docteur se retrouvais dans un cabinet pour discuter des termes de leur accords, où les avais rejoint olivier ...

-quelles sont vos conditions...

Damien s'assoie en cachant le plus possible le dégout qu'il pour ce boucher. Mais il faut dire que son arrogance était assez facile à provoquer. De plus, les suppositions que le légiste avait fait avait été correcte au vu de la réaction qu'avait eu ce malade. Il fallait espérer que Lexie pourrait essayer de trouver un moyen d'éviter de rester inactive et de sauver sa peau.

"Mes conditions ? C'est une sacré question après s'être réveillé dans une prison il y a quelques minutes. Ne pourrait on pas déjà parler de votre travail avant ? Parce que, si votre travail est ... impressionnant, et non éthique de base, je pense dire qu'un minimum d'éthique est nécessaire si nous voulons que notre travail soit un minimum respecté à l'avenir, ne pensez vous pas ? Je veux dire, nous ne sommes pas dans des hopitaux psychiatrique, les "patients", si on peut les appeler comme ça, mérite un minimum de soutien médicale à long terme"

Damien

Le docteur approuva mais la question des conditions de Damien l'intéressait d'avantage...

-Certes, certes... Mais nous aurons tout le temps d'en discuter plus tard, à moins que cela ne fasse partie de vos conditions...

Plaisanta t'il...

-Allez y exposez moi vos doléances... argent, conditions de travail, jour de repos, couverture ... Je vous écoute ...


Lexie

Lexie avait réussi à retrouver un peu de son calme quand sa voisine de cellule, l'interpella:

-Ta porte... Elle est n'est pas fermé a clef et elles sont sur la porte !!!

( lexie baisse d'un niveau en peur )

Lexie regarda la porte et se rendis compte que c'était vrai...

"Pour faire ce travail il me faudra une certaine immunité à Paris. Comprenez que j'ai un travail extrêmement important en tant que fer de lance de la brigade scientifique et qu'on risque de me chercher, il me faudra donc une nouvelle identité. De plus, je tiens à ce que Marguerite retrouve son apparence normale. Si vous avez peur qu'elle aille raconter aux autres ce qui lui est arrivé je m'occuperai personnellement de la convaincre. Je veux de l'argent, bien sûr. Et, pour finir, je souhaite avoir un logement qui scié à mon statut de médecin. Est ce que cela vous parait insurmontable ?"

Damien avait cherché les exigences les plus logique pour une personne dénuée de scrupule, excepté pour Marguerite. Il se disait vraiment que si ce docteur cinglé pouvait la soignait ca serait déjà un sacré début. Il savait aussi que n'importe quel contrat signé avec cet individu ne pourra être validé par la justice et que, par extension, il sera caduque de toutes facons

Ok, je vous lance une nouvelle histoire ce soir, pour lancer Oj et Murmurres également...J'ai pas eu le temps jusqu'à là.